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on vous attend déjà sur la cb, mes petits babouins ZARA (+) c'est lorsque le monde s'éteint autour de nous que l'on réalise à quel point il est important. 4091866587 où ça ? la petite boite à malices, sur la gauche de ton écran bril
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ZARA (+) c'est lorsque le monde s'éteint autour de nous que l'on réalise à quel point il est important.

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T. Zara-Odalys Oxburry
T. Zara-Odalys Oxburry

en ville depuis le : 05/12/2012
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MessageSujet: ZARA (+) c'est lorsque le monde s'éteint autour de nous que l'on réalise à quel point il est important. ZARA (+) c'est lorsque le monde s'éteint autour de nous que l'on réalise à quel point il est important. EmptyLun 6 Mai - 16:09


théoxane zara-odalys oxburry

T’es aussi bonne qu’un yahourt à la fraise.

NOM ✗ Oxburry. un nom de bourge qui est censé "m'ouvrir des portes", selon les gens. mais les personnes qui osent dire de telles conneries ne me connaissent pas, visiblement. PRÉNOM ✗ Théoxane Zara-Odalys. ne me demandez pas d'où ça vient, je ne veux même pas le savoir. ÂGE ✗ 21 ans. mais au pire, on s'en tape. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ✗ le 23 décembre, à Springfield. NATIONALITE ✗ américaine ORIENTATION SEXUELLE ✗ hétérosexuelle STATUT SOCIAL ✗ célibataire. en même temps, qui voudrait d'une fille qui ne peut même pas savoir à quoi vous ressemblez ? MÉTIER/ÉTUDES ✗ étudiante en langues étrangères mais est-ce que ça a une quelconque importance ?GROUPE ✗ life goes hard AVATAR ✗ Pezza Edwards, la plus belle

douce + renfermée + méfiante + sarcastique + discrète + déprimée + calme + gentille + complexe + manque de confiance en elle depuis son accident + possessive + légèrement maniaque + cynique + peut se montrer odieuse + pessimiste + mélancolique +

Mon troisième doigt, il est pour toi

→Toi et la poisse, je suis sûr que ça fait trois, hein... Allez, raconte nous ta plus grosse gaffe ou ta pire honte !

Vu ma situation, des gaffes, j'en fais tous les jours, si bien que je ne les compte même plus. Mais je crois que la pire, c'est la première fois où j'ai vraiment rencontré le gars qui s'occupe de la maison (et qui me surveille, accessoirement). J'avais faim, tout juste réveillée, et je voulais me faire mon petit-déj'. Sauf que ce con a pas voulu me laisser me débrouiller, résultat : je me suis pris mes céréales sur la tronche. Littéralement.

→ Sinon, la chance et toi, ça se passe comment ? Vous vivez une histoire d'amour ?

Euh ... C'est une blague là ? Vous m'avez bien regardée ? Je vois signale que mon père est mort dans un accident de voitures, ue j'ai perdu la vue dans ce même accident, et que depuis, c'est le noir complet pour moi. Ça vous suffit ?

→ Bah ! Ta vie ne peut pas être aussi merdique que ça, c'est impossible. Prouve le moi.

Un point positif ? Le moche ('fin j'dis ça mais j'sais même pas en fait) qui passe son temps avec moi. Ce moche qui me plait tellement mais avec qui j'ai absolument aucune chance. Mais je m'arrête là, parce que ça part en négatif là. Sinon il y a aussi l'opération que je viens de subir, même si je suis assez mitigée sur ce sujet, et que tout ce que je peux faire, c'est attendre de voir si ça a fonctionné.

→ Mais sinon, comment tu as connu le site lifeisajoke.com ? Tu y fais quoi dessus ?

Encore et toujours le même boloss. Ce que je fais dessus ? Enfin, 'on' plutôt. Il me lit toutes les LJ postées par les autres, et moi je rigole comme une débile. C'est notre petit rituel avant d'aller se coucher, quand on s'endort pas devant la télé. N'empêche, sa voix est carrément mieux que celle -électronique toute dégueulasse- de mon pc.


Parce qu'en vrai, j'suis bien foutu
PSEUDO/PRÉNOM ✗ gipsy.heart ÂGE ✗ 16 piges, bawais PAYS/RÉGION ✗ le pays des bisounours, sisi FRÉQUENCE DE CONNEXION ✗ plus geek, tu crèves COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ?✗ y'a plein de gens dans ma tête siffle QU'EN PENSES-TU ? ✗ bave AVIS, REMARQUE, SUGGESTION ✗ eheh UN DERNIER MOT ? ✗ OGGY OGGY OGGY (comprendra qui pourra eheh )


Dernière édition par T. Zara-Odalys Oxburry le Mar 11 Juin - 18:16, édité 4 fois
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T. Zara-Odalys Oxburry
T. Zara-Odalys Oxburry

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MessageSujet: Re: ZARA (+) c'est lorsque le monde s'éteint autour de nous que l'on réalise à quel point il est important. ZARA (+) c'est lorsque le monde s'éteint autour de nous que l'on réalise à quel point il est important. EmptyLun 6 Mai - 16:11



Ma vie, c'est de la merde
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PARTIE I Ce jour-là, quand j'ai ouvert les yeux, le soleil s'est levé, et la réalité s'est installée..
Petit à petit, tu reviens à toi. Tu prends conscience de ce qu'il se passe autour de toi, de ces "bips" incessants qui accompagnent les battements de ton coeur, de cette gêne qui démange le dos de ta main. Tes paupières papillotent au dessus de tes paupières, tandis que tu sens la migraine monter. C'est encore le noir total que tu sens une main se glisser dans la sienne, et tu reconnais ce parfum enivrant. Celui de ta mère, un parfum que tu pourrais reconnaitre entre mille. Ce même parfum qu'elle porte depuis 17 ans que tu es sur cette Terre. Puis après le parfum vient la voix, une voix si douce, réconfortante. Tremblante. Inhabituellement tremblante et tendue. « Ma chérie ? Tu es réveillée ? » Tu prends une inspiration, et tu ouvres les yeux. Tu penses apercevoir ta mère, mais tout ce que tu vois, c'est le noir. Tu fermes les yeux un instant et les rouvres à nouveau, certaine que ta génitrice sera là, le visage penché au dessus du tien, la mine inquiète. Tu sais qu'elle est là, tu sens son souffle dans tes cheveux blonds. Mais encore une fois, c'est le noir total qui s'offre à toi. Brutal. Complet. Envahissant. Oppressant. Tu penses rêver, mais au fond de toi, tu sais que tu es bien réveillée. Ton cœur s'emballe, la machine s'affole, tu t'agites. Une main que tu ne vois pas se pose sur ton épaule, se voulant rassurante. Et elle l'aurait été si elle n'avait pas été aussi peu assurée. « Zara, ma chérie, on est à l'hôpital. Ton père et toi, vous avez ... » Sa voix se brise, tu es presque sûre qu'elle a les larmes aux yeux. Ton coeur passe à la vitesse supérieure, ton esprit te joue des tas de scénarios différents. « Vous avez eu un accident. Tu te souviens ? » Tu fouilles un peu ta mémoire, et tous ces souvenirs remontent. La voiture. La route détrempée. Ton père au téléphone avec un associé. De nouveau, tu l'entends s'énerver. Il quitte la route des yeux, tandis que toi tu regardes par le ciel sans étoile à travers la fenêtre. Tu tournes la tête vers lui, te rendant compte au passage que quelque chose cloche. Tu regardes devant toi et réalise ce qui cloche : ces phares, juste en face, bien trop près. Tu réagis, tu hurles à ton père de faire attention. Tu le vois donner un coup de volant, tu sens la voiture partir, les secousses. Tu entends un fracas de tôle froissée, de verre brisé. Puis plus rien.
Ta mère a dû sentir que la scène repassait dans ton esprit, car elle serre ta main un peu plus fort. « Il... Ton père est ...mort. Sur le coup. Il n'avait pas vu la voiture arriver. Et quand il a essayé de l'éviter, il était trop tard. Mais toi, tu es toujours là mon coeur. Tu as la jambe cassée. Des points de suture au niveau de l'arcade de sourcilière. Et tu... tu as perdu la vue, Zara, tu es aveugle. » Elle continue de parler, mais tu ne l'entends plus. Aveugle. Tout s'écroule autour de toi, ton univers part en fumée. Sans parler de ta vie. Ce mot résonne dans ta tête, il tourbillonne sans cesse, créant un ouragan dans ton esprit. Et c'en est trop. Tu sens la nausée monter, la tête te tourne. Le sang bat dans tes tympans, te privant d'un second sens, alors que tu essaies désespérément de trouver une étincelle de lumière, quelque part. « Je ... J'me sens pas bien. » Et tu perds connaissance, affolant les machines qui t'entourent.

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PARTIE II Cherchez au fond de mon âme, et vous tomberez plus bas que vous ne l'êtes déjà.
Ce jour-là, quand tu te réveilles, tu penses encore à ce rêve, qui t'a paru merveilleux. Tu pouvais te voir en train de dormir. Te voir toi et tout ce qui t'entourait. Tu ne faisais rien d'autre, juste ça, mais ça te suffisait. Mais tu as ouvert les yeux, et le noir est revenu, prenant le dessus sur ton rêve. Et rien que d'y penser, tu te sens mal, tu replonges dans tes souvenirs, te souvenant de tout ce que tu as perdu. Tes yeux, tes amis, tes rêves. Ta vie. Tu enfouis la tête dans ton oreiller, ayant l'espoir fou de réussir à y disparaitre, mais c'est peine perdue, et tu le sais. Alors tu repousses ta couette et tatillonnes pour trouver ta canne, posée sur ta table de chevet. Tu la déplies et poses tes pieds nus sur le sol. En bas, tu l'entends qui s'active. Bien sûr, ça aurait été trop beau. Ta mère devait partir plus tôt, elle te l'avait dit, omettant qu'elle avait également demandé à Patrick (comme dnas Bob L'éponge, tahu) de venir plus tôt. Patrick, ce nouvel homme à tout faire dans la maison, nounou d'aveugle à ses heures perdus. Tu ne l'avais pas encore vraiment rencontré, puisque tu passes tes vacances enfermée dans ta chambre à lire, et tu ne veux pas le rencontrer. Mais il est là, et tu ne peux plus faire demi-tour, d'autant plus que tu meurs de faim. Alors tu t'accroches à la rambarde et tu descends les escaliers, prudemment, à la vitesse d'une tortue. Puis tu arrives dans le salon, tu m'entends lever la tête, tu sens son regard se poser toi. Tu entends Speranza arriver vers toi, elle se frotte à tes jambes et machinalement, tu passes tes doigts dans son pelage sable pour lui dire bonjour. Lui n'a pas bougé, il t'observe sans faire de bruit, avant de se décider. « Bien le bonjour gente dame. Je commençais à croire que tu n'étais qu'un mythe. » Pour dire ça, il aurait mieux fait de se la fermer et de continuer à l'observer en silence. « Désolée de te décevoir, mais c'est bien vrai. Le monstre qui hante cette maison existe réellement. » « Un monstre comme ça, j'veux bien qu'il vienne hanter ma chambre. » Tu ne dis rien, plus habituée à ce genres de trucs. Tu sens tes joues rosir tandis qu'il continue de te fixer. Tu remets ton cerveau en marche, passant à autre chose, et te diriges vers la cuisine, guidée par ta canne blanche. Tu entends ses pas résonner derrière toi, alors qu'il ne peut se résoudre à rater une seconde du spectacle que tu lui offres. Ce spectacle de la petite aveugle qu'il voit pour la première fois. Il doit trouver qu'elle a l'air bien conne, cette aveugle, à marcher à deux à l'heure. Mais tu t'en fiches, tu continues à avancer, une main glissant le long du mur. Et puis tu arrives à la cuisine, tu poses ta canne pour avoir les mains libres. Tu laisses courir tes doigts sur le comptoir pour trouver le tiroir. Tu fais un quart de tour à droite, trois pas, et tu tatillonnes pour trouver la poignée du frigo. Tu en sors la brique de lait, sentant toujours le poids de ce regard dans ton dos. Tu la poses sur le comptoir, à coté de la cuillère, et te retournes pour attraper un bol et les céréales. Tu ouvres les placards, sur la pointe des pieds, sans rien demander à personne. Et tu entends ses pas résonner jusqu'à toi. « Attends, je vais t'aider. » « J'ai pas besoin de ton aide, je peux ... » Tu ne finis pas ta phrase. Pas le temps. Tout allait bien, tu t'en sortais toute seule, et puis il a ramené sa fraise. Le bol t'a échappé des mains et est venu s'écraser par terre tandis que les céréales ont basculées de l'armoire, se déversant en partie dans tes cheveux. Tu fermes les yeux, tu arrêtes de bouger dans le silence qui prend place. Et puis son rire, mélodieux, contagieux, envahit l'atmosphère. Un sourire se dessine sur tes lèvres, fait rare depuis ces cinq dernières années. Ce sourire se transforme en rire, sans que tu saches comment ou pourquoi, puis le calme revient. Mais tu n'oses pas bouger, de peur de te blesser. Il semble le remarquer et sourit, enlevant une céréale de tes cheveux. « Bouge pas petit cœur, je vais te sortir de là. » Tu n'as pas le temps de protester qu'il te prend dans ses bras pour te reposer plus loin. Tu ne sais pourquoi, mais ce contact avec ta peau te fait frissoner et, de nouveau, tu rougis. « je... Euh. Merci. » tu cherches ta canne et mets la main dessus après avoir bousculé un tabouret de bar. « Remonte dans ta chambre, je t'apporte ton petit déj'. Et me dis pas que tu peux le faire toute seule, j'ai vu ce que ça donnait. Et quand t'auras le bide plein, on verra ce qu'on peut faire pour tes cheveux. »

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PARTIE III Chaque personne qu’on s’autorise à aimer, est quelqu’un qu’on prend le risque de perdre.
Tu finis ta page, tu reposes ton livre à sa place, sur ta table de chevet. A la place, tu attrapes cette canne qui te sert d'yeux et la déplie d'un coup sec. Tu entends Speranza se lever, au pied de ton lit, et un sourire éclaire ton visage, baigné par le soleil passant à travers ta fenêtre. Elle te voit se diriger vers la commode où tu ranges habituellement sa laisse, et elle se met à japper comme une dingue. Tu cherches mais tu ne trouves pas. Alors tu ouvres les tiroirs, fouillant leur contenu, mais il n'y a rien à faire, tu es incapable de mettre la main dessus. Tu continues de chercher, tu te mets même à quatre pattes pour voir si elle n'a pas atterri par terre, mais il n'y a rien à faire. Tu ne veux pas te résoudre à descendre pour demander de l'aide à Patrick, mais tu n'as pas vraiment le choix, si tu veux aller faire un tour avec ton labrador. Tu te relèves, te cognant par la même occasion à cette saloperie de tiroir mal refermé et tu sors de ta chambre, Speranza sur les talons. Tu descends lentement les escaliers, ta canne te précédent. T'as horreur de ça, de ce bruit glauque qu'elle fait à chaque pas, mais tu dis rien. De toute façon, ça ne servirait pas à grand chose. En arrivant en bas, tu entends la voix de Patrick, ce garçon à tout faire avec qui tu passes la majeure partie de ton temps libre. Tu n'aurais jamais pensé pouvoir l'apprécier quand ta mère te l'a présenté. Et pourtant, tu as passé pas mal de tes soirées à regarder -pour ainsi dire- un film en sa compagnie, dans le canapé du salon. Tu écoutais, et lui te décrivait tout ce qu'il voyait à l'écran, te tendant le pop corn dès que tu te penchais vers la table basse. Et puis ta mère rentrait, et elle vous retrouvait en souriant, endormis l'un contre l'autre. Le jour où tu lui avais demandé s'il pouvait rester manger avec vous, elle avait été étonnée, mais avait immédiatement accepté. Ce soir-là, tu avais senti le sourire de ta mère et son regard posé sur vous deux. Ce soir-là, tu avais compris que tu l'appréciais bien plus que tu ne le voudrait.
Et maintenant, tu entends son timbre, habituellement si chaleureux et enjoué, énervé contre un interlocuteur que tu n'entends pas. Tu comprends qu'il est au téléphone et tu restes là, sans rien dire, sans faire de bruit, sans faire savoir que tu es là. « T'as raison, fous-moi à la porte ! J'en ai rien à battre de toute façon... T'es sérieuse là, t'es vraiment en train de dire que c'est de la faute de Zara ? Nan mais t'es vraiment conne ma pauvre, va te faire soigner ! ... Mais oui, c'est ça, t'as raison, j'te mérite pas... T'en fais pas, j'avais pas non plus envie de rentrer ce soir... Pas de problème, je viendrais tout rechercher demain matin. Mais si tu crois que tu vas me manquer, tu te fous le doigt dans l’œil jusqu'au cul ! ... Parce que tu crois vraiment que j'ai besoin de ta petite personne pour vivre ? Je vais t'apprendre le scoop du siècle ma vieille : j'suis un grand garçon qui sait se sortir les pouces du cul pour gagner d'la tune... C'est ça, va te faire. » Le silence envahit la pièce et tu l'entends soupirer, étouffant des insultes peu glorieuses au passage. Comprenant qu'il a raccroché, tu décides de faire savoir que t'es là en te raclant la gorge. « Hey, salut princesse ! Je t'ai pas réveillée au moins ? » Tu n'as pas besoin de le voir pour savoir qu'il se demande depuis combien de temps t'es là. Tu l'entends à sa voix légèrement tremblotante. Mais tu fais comme si rien n'était. « Non, je... Je lisais. » Tu n'ajoutes rien, il garde le silence. Un ange passe. Tu passes ta main libre dans tes cheveux blonds. « Je voulais savoir si tu pouvais m'aider à chercher la laisse de Speranza. Je voulais aller faire un tour avec elle, mais son harnais n'est pas rangé, et je peux pas mettre la main dessus. » Il s'éloigne en soupirant, tu l'entends farfouiller pendant quelques secondes, puis il revient, te mettant le bout de tissu dans la main. « Tiens, la voilà. J'ai dû la sortir ce matin, et j'ai encore oublié ce truc de tout remettre là où je l'ai eu. Désolé. » Tu hausses les épaules, esquissant un sourire en coin. « C'est rien. Merci. » Tu devrais tourner les talons et sortir, mais tu restes plantée là, sans rien dire. Tu le sens te dévisager, son regard te scrutant des pieds à la tête. « Tu voulais autre chose ? » Tu te mords la lèvre, tu hésites. Si tu lui proposes, il saura que t'as tout entendu, ou presque, et tu as peur de ce qu'il dira. Mais finalement, tu te lances, peu importe les conséquences. « Si tu veux, tu peux... Tu peux venir t'installer ici, en attendant de trouver mieux. Si j'ai bien compris, tu viens de te faire mettre à la porte, et la maison est bien assez grande pour accueillir une personne de plus. » Tu l'entends se retenir de rire en souriant avant qu'il ne t'ébouriffe gentiment les cheveux, comme à une gamine. « Profite bien de ta balade Zara. » Il dépose un baiser sur ta joue avant de tourner les talons.


Dernière édition par T. Zara-Odalys Oxburry le Mar 11 Juin - 18:13, édité 2 fois
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Kathryn M. Wright
Kathryn M. Wright

KATHRYN Ҩ life is a rollercoaster ride.
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MessageSujet: Re: ZARA (+) c'est lorsque le monde s'éteint autour de nous que l'on réalise à quel point il est important. ZARA (+) c'est lorsque le monde s'éteint autour de nous que l'on réalise à quel point il est important. EmptyJeu 16 Mai - 16:46

bienvenue encore ma darling I love you
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T. Zara-Odalys Oxburry
T. Zara-Odalys Oxburry

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MessageSujet: Re: ZARA (+) c'est lorsque le monde s'éteint autour de nous que l'on réalise à quel point il est important. ZARA (+) c'est lorsque le monde s'éteint autour de nous que l'on réalise à quel point il est important. EmptyJeu 16 Mai - 18:40

merci ma bouboute ZARA (+) c'est lorsque le monde s'éteint autour de nous que l'on réalise à quel point il est important. 4091866587 bril
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