(neela) j'crois que même dans ma chambre, c'moins l'bordel que dans ma tête
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D. Neela-Isaé Fitzgerald
NEELA Ҩ world was built for two
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Sujet: (neela) j'crois que même dans ma chambre, c'moins l'bordel que dans ma tête Mer 2 Jan - 18:06
DAENERYS NEELA-ISAé FITZGERALD
when she was just a girl, she expected the world
NOM ✗ Fitzgerald. ouais ouais, comme l'un des présidents des USA les plus connus. En fait, je fais apparemment partie de sa famille plus ou moins éloignée. Classe, pas vrai ? PRÉNOMS ✗ Daenerys Neela-Isaé. J'trouve ça bizarre, je l'avoue, mais c'est la seule chose qu'il me reste désormais de ma génitrice, alors je ne veux pas le perdre. ÂGE ✗ 22 ans. C'est ce qui est inscrit sur ma carte d'identité. Heureusement que ce n'est pas l'âge mental, sinon j'en serais encore au jardin d'enfants. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ✗ j'suis née le 1er avril 1990 à Madrid. Non non, ce n'est pas une blague. NATIONALITE ✗ espagnole et américaine. Merci les parents ! (a) ORIENTATION SEXUELLE ✗ hétérosexuelle STATUT SOCIAL ✗ Love fucked me once, never again please. Mais en fait je suis fiancée, c'est juste que la situation est du genre méga-compliquée.MÉTIER/ÉTUDES ✗ peintre et propriétaire de sa propre galerie d'art. GROUPE ✗ life goes hard AVATAR ✗ Nina the sexiest alive Dobrev
« Sérieusement les gars, je crois que si mon père nous voit, il va nous tuer un par un. » « T'inquiètes pas bichette, on dira que c'est nous, il le croira volontiers. » « C'est clair. Ton dominant préfère penser que sa petite fille chérie est totalement innocente et naïve. » Neela-Isaé s'arrêta un instant pour dévisager Timéo. C'est clair que s'échapper de sa chambre pour faire un camping sauvage sur la plage avec les fils des associés de son père, c'était carrément honteux. Elle aurait pu se faire renier et déshériter pour moins que ça... Nan mais et puis encore ? Et puis de toute façon, à l'instant où son paternel se rendrait compte que sa princesse avait quitté le château, il devinerait qu'elle était en compagnie de ses ainés, Luckaël et Timéo, alias Doudou et Chouchou. Comme c'était le cas à chaque fois de toute façon. Ces trois-là, bien qu'ils aient quelques années de différence, avaient toujours été liés comme les Trois Mousquetaires. Rien de bien étonnant quand on savait que leurs pères respectifs étaient les meilleurs amis du monde depuis le lycée, si bien qu'ils avaient monté ensemble leur propre cabinet d'avocats. « Arrête de me regarder comme ça Neela, on dirait que tu vas ma sauter dessus. Sérieux ça me fait flipper. » L'intervention de Luckaël sortit l'adolescente de ses pensées. Le regard blasé, elle lui tira la langue avant de lui tourner le dos, l'air faussement boudeuse. « Prend pas trop tes rêves pour des réalités Doudou. Je sais bien que tu adorerais ça, mais comme l'a si bien souligné Tim', je suis qu'une pauvre petite fille innocente. » Neela se retourna vers lui et, avant même qu'il ne puisse répliquer, lui sauta dessus, roulant dans la sable avec lui, sous les protestations de Timéo qui se plaignait de ne pas en avoir autant. Elle se tortillait sous les doigts de son ainé qui la chatouillait impitoyablement, attendant qu'elle se prosterne à ses pieds pour demander son pardon, riant tous deux aux éclats. Lorsque enfin il la libéra de son supplice, elle fut surprise de se rendre compte que son visage était si proche du sien. Son cœur se mit à battre la chamade, il se lança dans une galopade effrénée tandis que cette proximité était accentuée, que Luckaël approchait lentement son visage du sien, faisant durer cette période avant le baiser qui nous donne l'impression que la crise cardiaque est proche, qu'on a la gorge sèche et qu'on prie pour que cette part de nous qu'on ne connait pas et qui nous crie d'écourter le suspens se la ferme enfin. Doucement, comme une caresse, comme pour ne pas effrayer une biche effarouchée, il posa ses lèvres sur les siennes, avec une infinie douceur. Mon Dieu... Neela-Isaé eut l'impression que c'était la fin de sa vie, une fin si douce et délectable. « Beuuurk ! Ah mais vous êtes dégueulasses ! » Neela-Isaé se rendit compte qu'elle en avait oublié de respirer, que son sang battait contre ses tempes, tandis qu'elle se rendait compte que ce cliché pourri du feu d'artifices existait réellement. Souriante contre les lèvres de Lucka', elle attrapa une poignée de sable et la lança en direction de Timéo sans même le regarder. Il mit fin au baiser et se redressa, son regard bleu océan plein d'étoiles plongé dans le sien, un sourire béatement niais sur les lèvres. Le charme de l'instant rompu par les jérémiades de Tim, Neela tourna la tête vers lui. « Je suis désolé, mais y'a favoritisme là ! Je vais pas être d'accord si, jolie Neela, tu me dis que j'ai pas droit à un petit bisou aussi. » « Comme tu l'a dit, y'a favoritisme. Navrée mais t'es pas aussi beau que Doudou. Et en plus, t'as une haleine de belette enragée alors tu m'excuses, mais je suis vraiment pas suicidaire. »
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Neela, complètement ahurie, se retourna vers lui, les yeux écarquillés. « Quoi ?! » Perdant lentement son petit sourire sûr de lui, ses mains se mirent à jouer nerveusement avec le petit coffret recouvert de velours noir qu'il tenait. « Épouse-moi, Neeal-Isaé Fitzgerald. » Elle secoua la tête, comme pour en faire sortir ces quelques mots qu'elle pensait avoir rêvés. L'épouser ? Ah la bonne blague ! Non mais franchement, il pensait vraiment qu'elle allait encore se faire avoir ? Ils leur avait déjà joué suffisamment de mauvais tours pour savoir qu'elle ferait mieux de de méfier. Pourtant, il n'avait absolument pas l'air de se poquer d'elle. Au contraire, il semblait tout à fait sérieux, et l'inquiétude se faisait une place dans ses yeux au fur et à mesure que les secondes s'effilochaient. « T'as pas le droit Luckaël. T'as pas le droit de me demander en mariage alors que ça ne t'engage absolument à rien, puisque tu pars demain ... » « Au contraire Neela, ça m'engage à tout un tas de choses ! Ça m'engage à penser à toi à chaque instant, de penser à tout ce qui m'attendra quand je vais revenir, et ça m'engage à revenir vivant pour avoir le bonheur de te voir en robe blanche. » Ses yeux bleus pétillaient, comme s'il lui racontait un rêve incroyable, fantastique, magique. Il lui avait annoncé deux mois plus tôt qu'il s'était engagé dans l'armée, et ça lui avait brisé le cœur. Puis Timéo lui avait annoncé la même chose, enfonçant un peu plus le clou. Elle leur en voulait. Terriblement. Tous deux l'abandonnaient au même instant, la laissant avec son inquiétude et cette angoisse constante de recevoir un coup de fil tragique. « Promets-moi que vous reviendrez en un seul morceau et que vous m'écrirez régulièrement. » Retrouvant le sourire alors qu'il s'apercevait que la victoire était proche, Luckaël s'approcha d'elle pour la prendre dans ses bras. « Je te le promets ma biche. » « Dans ce cas, dis à Tim qu'il doit se trouver un costume. Et montre-moi un peu cette fichue bague. » Un sourire flotta sur les lèvres des amoureux après qu'ils aient échangé un baiser et que Neela ait admiré son annulaire, où trônait désormais un sublime diamant.
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Comme chaque matin depuis deux ans, Neela-Isaé jeta un coup d'oeil par la fenêtre de sa chambre, espérant apercevoir Luckaël et Timéo sur le perron, faisant les imbéciles comme ils avaient si bien l'habitude de le faire. S'arrachant à sa contemplation, elle sortit une boite de sous son lit et la posa sur son matelas, juste à coté de Speranza qui la regardait d'un œil curieux. Elle savait qu'elle aurait dû, mais elle n'eut pas la force de congédier la petite chienne, au lieu de quoi elle se mit à lui gratter le ventre d'une main tandis que de l'autre, elle ouvrait la boite. Assise en tailleur, elle sentit les larmes affluer sous ses paupières à la vue de toute cette correspondance échangée avec son fiancé et son meilleur ami. Elle ressortit la dernière lettre qu'elle avait reçue, presque six mois plus tôt. Depuis ce jour-là, elle n'avait plus aucune nouvelle des deux hommes de sa vie. Parcourant les quelques lignes qui étaient inscrites sur le morceau de papier, elle ne pût contenir ses larmes plus longtemps. Elle remit rapidement la missive avec les autres, referma la boite et sauta sur ses pieds, courant presque pour monter au grenier où elle déposa son colis sur une étagère. Elle voulait juste arrêter de se faire des films, de mourir d'inquiétude en pensant qu'elle ne les reverrait jamais. Neela redescendit sur Terre en entendant le carillon de la porte d'entrée retentir. Les visites étant rares, elle descendit les escaliers en trombe, sécha ses larmes d'un revers de main, et ouvrit la porte en grand. Timéo, un sourire sur les lèvres, se tenait dans l'encadrement de la porte, droit comme un "i" dans sa tenue d'officier. Sans même un regard pour l'homme plus âgé qui se tenait à ses cotés, elle se jeta dans ses bras, manquant de le faire tomber, ce qui sembla déplaire à son supérieur. « Chouchouuuu ! Mon Dieu ce que tu m'as manqué ! Ça va ? Regarde moi et dis moi que ça va, que t'as rien de cassé et que tu t'es pas transformé en monstre totalement taré. » Timéo serra Neela-Isaé dans ses bras et la fit tournoyer dans les airs, se fichant tous deux royalement du regard réprobateur et plein d'incompréhension du doyen, qui semblait ne pas comprendre le lien qui unissait les deux jeunes gens. « T'inquiètes ma bichette. Et puis je t'avais promis de ne pas t'abandonner. » Il déposa un baiser sur sa joue tandis qu'un immense sourire flottait sur les lèvres de Neela. Cela lui faisait tellement de bien de le voir, de savoir qu'il allait bien, de pouvoir le toucher à nouveau. Cette vague de joie se gonfla un peu plus quand elle pensa à ce qu'elle allait ressentir en voyant Luckaël, bien qu'elle fut inquiète de ne pas le voir à ses cotés. Elle jeta un coup d'oeil derrière Tim', comme si son fiancé à la carrure imposante pouvait se cacher dans son dos. Avisant la berline noire stationnée dans l'allée, elle plongea ses yeux dans ceux de son ami, de plus en plus angoissée à l'idée de ne pas voir apparaitre l'homme de ses rêves. « Tim ? Dis moi que mon Doudou est dans cette voiture... » Le jeune homme garda le silence, soudainement gêné et le regard fuyant. Il n'en fallut pas plus pour qu'elle comprenne qu'il n'était pas là. Immédiatement, elle sentit les larmes affluer et son cœur s'affoler. « Timéo, dis moi que Luckaël est dans cette pxtain de voiture ! Je t'en prie... » Il tenta de la prendre dans ses bras, mais elle se déroba et posa un regard suppliant sur lui. « Mademoiselle Fitzgerald ? Venez, il faut que nous parlions de Luckaël ... » Mécaniquement, elle leur fit signe d'entrer avant de les suivre à l'intérieur, sans tenter de cacher ses pleurs ni son inquiétude.
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Sans même regarder les numéros inscrits sur les portes, elle se dirigea vers celle qu'elle savait être le 248. Celle de Luckaël. Elle s'arrêta un instant et tenta de calmer sa respiration et son cœur, qui s'emballaient chaque fois qu'elle entrait à l'hôpital. Elle avait toujours peur qu'il se soit réveillé alors qu'elle n'était pas là, et une fois qu'elle y était, elle avait peur de sa réaction quand il se réveillerait enfin. Il y avait de grandes chances pour qu'il ne la reconnaisse pas, et c'était sans doute ça qui l'effrayait le plus : qu'il l'ait oubliée, elle et les sentiments qu'il a pour sa fiancée. Chaque matin, depuis que Timéo lui avait annoncé qu'ils étaient revenus pour de bon et que Luckaël était dans le coma, elle pensait à cette éventualité, et Neela devait avouer que cela était horrible. Prenant une grande inspiration, elle ouvrit la porte et entra dans la chambre, où Timéo parlait avec une infirmière. Lorsqu'elle aperçut Neela-Isaé, la blouse blanche devint soudainement moins bavarde et prit rapidement la fuite. Elle la regarda sortir et alla déposer un baiser sur la joue de son ami, avant de prendre place à coté du lit du malade, serrant ses doigts dans les siens. Elle entendit Timéo s'éclipser, la laissant seule en compagnie de son fiancé et des "bip" incessant des machines qui l'entouraient. Sans lui lâcher la main, elle attrapa l'une des lettres dans son sac et commença à la lui lire. Elle faisait ça chaque fois qu'elle venait, c'est-à-dire tous les jours : elle prenait l'une des lettres qu'il lui avait envoyé et la lisait à voix haute, espérant ainsi réduire les risques d'amnésie. Elle se doutait bien que ça ne marchait pas comme ça, mais elle en avait eu assez de rester les bras croisés à attendre qu'il daigne ouvrir les yeux. Cela faisait déjà plusieurs semaines qu'ils étaient rentrés d'Afghanistan, mais il n'y avait pas vraiment eu d'améliorations dans l'état de santé de Lucka, ce qui inquiétait ses deux amis. C'est sans doute pour cette raison qu'elle sursauta et fixa la main de son amant après avoir eu l'impression que ses doigts avaient bougé. Il ne se passa rien pendant plusieurs secondes, puis de nouveau, ses doigts remuèrent, cette fois de manière plus visible. Les battements de son cœur s'accélérant, Neela-Isaé n'eut pas le réflexe -ou la force- d'appeler Timéo, son regard entièrement accaparé par les paupières du malade qui commençaient à papillonner, comme s'il désirait les ouvrir mais qu'elles étaient encore trop lourdes. Un sourire sur les lèvres, Neela embrassa la main de son amour qu'elle tenait encore tout en lui murmurant des mots aussi encourageants que doux. Et enfin, après plusieurs secondes, la jeune femme pût revoir le bleu si beau de ces yeux qui venaient de s'ouvrir pour son plus grand bonheur. Mais celui-ci fut de courte durée. L'espoir qui était réapparu en elle s'envola trop tôt à son goût. Après s'être habitué à la lumière ambiante et avoir examiné son environnement, il posa sur elle un regard plein d'interrogation. « Excusez-moi, mais... Est-ce que vous pouvez me dire où nous sommes ? » Ces quelques mots si anodins lui brisèrent le cœur, à tel point qu'elle lâcha sa main comme si elle s'était brulée et sortit de la chambre en courant, le visage baigné de larmes.
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Nos deux anciens soldats ont repris leur place à la villa. Timéo ne parle jamais de ce qu'ils ont vécu là-bas, mais Neela se rend bien compte qu'il est hanté par les horreurs qu'il y a vu, surtout lorsqu'il réveille toute la maison en hurlant en pleine nuit. Quand elle a essayé de lui en parler, il lui a répondu que le cas de Luckaël était plus important que le sien, pensée qu'elle ne partage pas vraiment avec lui. Luckaël, quant à lui, a totalement perdu la mémoire, du moins, pour ce qui concerne sa vie avant la guerre. Neela-Isaé fait tout son possible pour l'aider à retrouver tous ses souvenirs, toutes ces choses qu'ils ont partagées, à grand renfort de photographies, de phrases qu'ils avaient l'habitude de prononcer dans telle ou telle situation, en bref, toutes sortes de choses qui, selon les médecins, devraient l'aider. La seule chose qu'elle lui cache étant la relation et les sentiments qu'ils partageaient, de peur qu'ils aient disparus et ne réapparaissent pas "de leur plein gré".[/i]
Mon troisième doigt, il est pour toi
→Toi et la poisse, je suis sûr que ça fait trois, hein... Allez, raconte nous ta plus grosse gaffe ou ta pire honte !
Étant de nature plutôt maladroite, des gaffes j'en fais tous les jours. Mais je crois que celle qui m'a le plus marquée, c'est quand j'avais une dizaine d'années. Ma grand-mère était endormie et je voulais en profiter pour goûter les "Chocolats pour les grands" (vous savez, les chocolats dégueulasses à la liqueur) qui étaient planqués dans un placard de la cuisine. Du coup, j'ai grimpé sur une chaise pour escalader le comptoir et attraper la boîte, le regard brillant et la bave au coin des lèvres. Sauf qu'en voulant redescendre, je me suis ramassée par terre comme une vieille bouse et je me suis foulée la cheville.
→ Sinon, la chance et toi, ça se passe comment ? Vous vivez une histoire d'amour ?
Haha *rires*. Pardon. C'est juste qu'on ne peut pas vraiment dire ça comme ça. Je suis la pire des maladroites, il m'arrive toujours des trucs incroyables, et le mot chance ne fait absolument pas partie de mon vocabulaire. Une preuve ? Ma mère est morte en me mettant au monde, mon fiancé et son meilleur ami (qui est le mien aussi) sont partis en Afghanistan, revenus il y a quelques mois, assez mal en point. Mon fiancé était dans le coma et s'est réveillé amnésique, sans aucun souvenir de moi, de lui, de nous, de rien. On fait mieux comme vie, pas vrai ?
→ Bah ! Ta vie ne peut pas être aussi merdique que ça, c'est impossible. Prouve le moi.
Le seul truc que j'ai pour moi, c'est mon don pour la peinture. Mon don pour la peinture et l'argent de mon père qui est à mon entière disposition. Mais je préfère autant le dire tout de suite, je ne veux pas en profiter. De toute façon, avec l'argent généré par la galerie d'art, je n'en ai pas tellement besoin. Mais mis à part ça, ma vie c'est de la merde.
Parce qu'en vrai, j'suis bien foutu
PSEUDO/PRÉNOM ✗ gipsy.heart ÂGE ✗ 15 ans, même si pour maintenant on peut die que j'en ai 16 PAYS/RÉGION ✗ 62, rpz wesh *out* yep, j'suis ch'ti et fière de l'être (a) FRÉQUENCE DE CONNEXION ✗ 7j/7, envraie geek que je suis COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ?✗ ma darling, la plus belle des bonnasses QU'EN PENSES-TU ? ✗ on a vraiment bien travaillé moi j'dis AVIS, REMARQUE, SUGGESTION ✗ je m'aime UN DERNIER MOT ? ✗
(neela) j'crois que même dans ma chambre, c'moins l'bordel que dans ma tête